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L’AFD opte pour une solution low code en agile pour son processus coeur de métier

Par Bertrand Lemaire | Le | Cas d’usage

L’Agence Française de Développement (AFD) a choisi le BPM lowcode de Bonitasoft intégrée par RS2i pour refondre sa gestion de processus.

L’Agence Française de Développement (AFD) dispose d’un budget de 12,5 milliards d’euros. - © afd.fr
L’Agence Française de Développement (AFD) dispose d’un budget de 12,5 milliards d’euros. - © afd.fr

L’Agence Française de Développement (AFD) est un établissement public qui participe à la politique de la France en matière de développement et de solidarité internationale. Grâce à un budget de 12,5 milliards d’euros et plus de 80 agences réparties dans le monde entier, l’AFD soutient 4000 projets (dont 995 nouveaux en 2021) dans les Outre-mer et dans 115 pays du Sud. Le traitement des versements pour soutenir tel ou tel projet suit un processus précis qui était traité dans un applicatif devenu obsolète et inadapté. En 2020, une refonte a été décidée en veillant à ce que le nouveau produit, destiné à être déployé autant au siège qu’en agences, soit aisément évolutif. Le choix d’une solution de BPM low code s’est alors imposée.

C’est finalement la plate-forme open-source de Bonitasoft intégrée par RS2i qui a été choisie. Cette solution permet d’aisément créer et modifier des processus hautement personnalisés tout en bénéficiant de briques pré-paramétrées. Le projet est toujours actuellement en mise au point et son déploiement mondial est programmé pour 2024. Anne Riebler, directrice de programme, responsable du Pôle Opérations Extérieures à la Division Projets et Support Applicatifs au sein de la DSI de l’AFD, explique la raison de cette durée du projet : « cela a pris un peu de temps car c’était la première fois que nous menions un projet en mode agile, ce qui nécessite une méthodologie rigoureuse et une définition précise des rôles et responsabilités associées. Pour nos collaborateurs, ce type d’approche par itérations requérait de nouvelles pratiques, mais nous commençons déjà à constater une certaine efficience collective. »